Viens valse avec papa
André Claveau
Viens, mon poussin
Viens valser avec papa
Viens valser avec papa
Viens, mon poussin chéri, viens dans mes bras
Viens apprendre à valser avec papa
Profitons-en, maman n’est pas là
Viens, ma chérie, tourner avec moi
Viens apprendre à valser avec papa
Profitons-en, maman n’est pas là
Viens, ma chérie, tourner avec moi
Un, deux, trois
Un, deux, trois
Hop! Voilà!
Un, deux, trois
Un, deux, trois
Hop! Comme ça!
Un, deux, trois
Hop! Voilà!
Un, deux, trois
Un, deux, trois
Hop! Comme ça!
Maman aussi aimait cet air-là
Lorsque nous valsions tous les deux autrefois
Lorsque nous valsions tous les deux autrefois
La li la la
La la la la
Viens, mon trésor
La li la la
Allez, encore une fois
Voilà!
La li la la
La la la la
Viens, mon trésor
La li la la
Allez, encore une fois
Voilà!
La li la la
Un, deux, trois
Un, deux, trois
Hop! En haut!
Un, deux, trois
Un, deux, trois
Hop! Plus haut!
Un, deux, trois
Hop! En haut!
Un, deux, trois
Un, deux, trois
Hop! Plus haut!
Valsons… On s’amuse bien, hein
Ta li da la
La li… Oh, tu es belle, mon chéri
Ta li da la
La li… Oh, tu es belle, mon chéri
Viens pour te reposer, viens dans mes bras
La valse t’a bercée, n’arrêtons pas
Bientôt, chérie, tu t’endormiras
Tout en dansant contre ton papa
La valse t’a bercée, n’arrêtons pas
Bientôt, chérie, tu t’endormiras
Tout en dansant contre ton papa
Un, deux, trois
Un, deux, trois
Doucement
Un, deux, trois
Un, deux, trois
Dors, mon enfant
Un, deux, trois
Doucement
Un, deux, trois
Un, deux, trois
Dors, mon enfant
Tu dors et je peux te dire tout bas
Que la plus jolie, la plus belle, c’est toi
Que la plus jolie, la plus belle, c’est toi
La plus jolie, la plus belle, c’est toi
Dodo
Tu sais, papa, j’dors pas
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Le trovi?
Si che le trovi…
Sono due vecchissime poesie, se dovessi azzardare una data direi 1961 …
un ricordo d’amore in inverno
in un bar sul mare
Sono
sotto un cielo verde
col ricordo
– che mi ha dato l’amore –
delle cose
Fra le palme
il taglio di nuvola
ha forma di Cupido trafitto.
una domenica di gennaio
Ci siamo trovati a un paese
sperduto
un prato grande e l’osteria
un lume penzola molto vicino
un ragazzo palleggia sul prato
Sei sfuggita nel bosco
digradando remota nella luce
Sono andato all’osteria
un bicchiere bollente di vino
il titolo della prima è “un ricordo d’amore in inverno in un bar sul mare” insomma, una specie di racconto e potevo finirla lì 🙂
il titolo della seconda è: Una domenica di gennaio”
ciao
r.
Delicate e belle queste poesie di Roberto, con un profumo di adolescenza.